Novembre. De nombreux étangs sont entièrement vidés pour être pêchés. Leur surface encore récemment scintillante a laissé la place à des étendues de vase explorées par quantité d’oiseaux. Reste généralement un petit chenal en eau où les poissons se réfugient.
D’énormes carpes communes, dépassant un demi-mètre, laissent entrevoir leurs écailles. Plus loin, un brochet gobe de l’air dans cet environnement boueux, si pauvre en oxygène.